24 février 2015

23 février 2015

Zen


18 février 2015

Voici ce que je commence juste à travailler au violon

 
 
Pour l'instant j'en suis au stade du déchiffrage; je suis donc loin de les jouer comme ça.

17 février 2015

12 monkeys


 
J'ai beau adorer la science fiction, j'ai quand-même du mal à entrer dans l'univers de cette série, qui ressemble trop à des tas d'autres séries du même genre. Ce n'est pas évident de ce renouveler.

16 février 2015

Atlantis

 
 
Cette série amuse peut-être le jeune public. Peut-être va-t'elle éveiller leur intérêt pour la mythologie, ou pas. Pour moi elle n'a que peu d'intérêt.
Pour une série britannique, je m'attendais à mieux.

13 février 2015

Le Trône de Fer, le roman, intégrale l

 
 
 
J'avais commencé à regarder la série, qui m'avais plu, mais la suite étant diffusée sur des chaînes auxquelles je n'avais pas accès, je me suis vengée sur le roman. La série respectant parfaitement le récit de Georges R. R. MARTIN, j'ai eu un peu de mal à avancer dans ma lecture, redoutant ce qui allait suivre.
Parmi la pléiade de personnages, il y a ceux que j'aime bien et ceux que je déteste.
Chez les STARK, tout le monde est très sympathique, sauf Catelyn que je trouve snobe, arrogante, méprisante et Sansa qui n'est qu'une petite dinde.
Chez les LANNISTER, ils sont tous odieux et méprisables, sauf Tyrion que je trouve touchant et émouvant. Le seul qui gagne à être connu.
J'aime bien le personnage de Daenerys TARGARYEN. Ce personnage est dépeint comme une adolescente courageuse et intelligente. Elle fait ce qu'elle doit pour survivre, et malgré les souffrances endurées, son cœur reste bon.

08 février 2015

L'auto-portrait du singe


J'adore les animaux. Je les trouve extraordinaire. Quand un singe chaparde un appareil photo et se prend lui-même en photo, cela donne ce portrait absolument génial de ce sourire simiesque.
Et que ce soit clair, de mon point de vue, le singe est l'auteur du cliché; le photographe, propriétaire de l'appareil photo, n'a aucun droit de toucher des droits d'auteur.

07 février 2015

The 100

 
 
L'idée que nous détruisons notre planète à vitesse grand V sans avoir les moyens d'en partir pour coloniser un autre monde, que nous ne manquerions pas également de ravager dans notre grand égoïsme, est un sujet de choix pour les auteurs de science-fiction.
La série "The 100" relate l'histoire d'une humanité réfugiée dans l'Espace, à bord d'une station spatiale construite de bric et de broc où la surpopulation et l'usure des matériaux menacent de faire disparaître ce qui reste de l'espèce humaine.
Après 97 ans dans l'espace, les dirigeants de la station spatiale appelée l'Arche, décident d'envoyer sur Terre 100 jeunes gens emprisonnés et risquant la peine de mort pour estimer leur chance de survie s'ils décident d'y tenter leur chance.
La question étant aussi bien de savoir si la Terre est toujours irradiée ou non, mais également si les ressources seraient suffisantes pour une nouvelle colonisation et quels dangers pourraient-ils devoir affronter.
Á force de nous répéter d'être raisonnable et responsable, ça va peut-être finir par rentrer. Avant qu'il ne soit trop tard ?

06 février 2015

Nosfératu

 
 
Film de 1922 réalisé par l'Allemand F.W. MURNAU
L'histoire raconte l'épopée d'un jeune homme qui doit partir pour les Carpates, à la rencontre du mystérieux Comte ORLOK car celui-ci souhaite acquérir une maison à WISBORG, petit port de SUÈDE. Ce faisant, il laisse derrière lui sa jeune épouse Ellen. HATTER, c'est son nom, pense juste faire une vente et gagner beaucoup d'argent. Il n'imagine pas pénétrer dans un monde cauchemardesque de ténèbres où la mort règne.
C'est un film muet en noir et blanc, toujours considéré comme un chef-d'œuvre du cinéma fantastique et qui a bien failli disparaître à jamais. MURNAU s'était inspiré de "Dracula" de Bram STOCKER mais s'en en demander l'autorisation. Les ayants-droits ayant eu gain de cause devant la justice et exigé la destruction de toutes les copies existantes, c'est une chance que la sentence ne fût jamais exécutée.
Certains pensent que le film préfigure la montée du Nazisme et les évènements de la 2° guerre mondiale; alors que d'autres y voient un antisémitisme flagrant. Je ne suis pas certaine que le réalisateur est eu une vision médiumnique de l'avenir; pas plus que BARJAVEL n'avait pressenti les évènements de Mai 68 dans son roman "La nuit des temps" écrit quelques années plus tôt. S'il faut y voir une métaphore, je crois que c'est à chacun de l'imaginer. Pour moi, Nosfératu symbolise le côté obscure de la force. Il représente la part sombre en chacun de nous; à moins qu'il ne s'agisse de l'ignorance et de l'intolérance, chassé au petit matin par l'éclatante lumière du jour naissant, symbolisant la connaissance, comme dans "Icare" ou "L'allégorie de la caverne".
Si le Dracula de Bram STOCK pouvait se déplacer librement dans la journée, nullement incommodé par les rayons du Soleil, MURNAU, lui, a juger utile de créer un personnage ennemi du jour. En effet, c'est lui qui est à l'origine de l'idée que le Soleil peut anéantir le Vampire. Effet scénaristique pour accentué l'angoisse du film ou symbolisme philosophique sous-jacent ?  
 

03 février 2015

2CELLOS, "Thunderstruck" [OFFICIAL VIDEO]



Là aussi dans le genre musiciens géniaux complètement secoués, ces deux-là sont bien gratinés; mais quelle virtuosité ! Ça me laisse pantoise ! Comme quoi on s'éclate aussi avec du classique.

02 février 2015

Salut Salon, "La dispute"




Deux violonistes, une violoncelliste, une pianiste vues dans une émission sur ARTÉ; tout cela ressemble à du classique bien sage. Or ces musiciennes là sont complètement barrées ! Rock & Roll !

01 février 2015

Almost human (presque humain)

 
L'histoire nous entraine au milieu du XXIe siècle, où la technologie galopante permet aux criminels de pouvoir sévir sans être réellement inquiétés. La police est dépassée et pour pouvoir continuer à faire son travail pour maintenir un semblant d'ordre, les hommes font équipent avec des robots anthropomorphes appelé des MX.
Le héros, le Lieutenant Jon KENNEX, alias le très beau Karl URBAN, est grièvement blessé au cour d'une mission à très haut risque qui se révèle n'être qu'un piège tendu par une redoutable organisation criminelle, le Syndicat.
Après un long coma et une jambe artificielle, il reprend du service mais, n'acceptant pas de travailler avec un MX, on lui adjoint un robot d'un ancien modèle retiré de la circulation car trop instable à cause de sa capacité à exprimer des émotions humaines; un DRN, appelé Dorian.
Tout cela me rappelle l'univers d'Isaac AZIMOV dans "Les robots", où on peut s'interroger sur notre rapport à la technologie mais aussi sur notre humanité. Peut-on considérer une intelligence artificielle comme une forme de vie à part entière ? Notre humanité s'exprime-t'elle uniquement à travers nos émotions ?