23 septembre 2012

Les saveurs du Palais


Voici une petite note rafraichissante et ravigorante !
Hortense LABORIE, chef cuisinier de profession, est débauchée par l'Élysée pour être la cuisinière particulière du président de la république, car celui-ci souhaite un retour aux sources gastronomiques. Tout droit sortie de son Périgord, Hortense va devoir se froter au protocole, mais aussi à la jalousie et à la mesquinerie des cuisines du Palais de l'Élysée, grouillante comme une ruche.
Inspiré d'une histoire vrai, c'est drôle, émouvant, piquant même, mais surtout ça met l'eau à la bouche ! Allez le voir, mais pas l'estomac vide !

20 septembre 2012

Raison et sentiments


Je viens de le relire et j'ai bien fait. La première fois, l'histoire de soutenait pas la comparaison avec "Orgueil et préjugés"; Elinor DASHWOOD n'étant pas Elisabeth BENNET. Mais à cette 2° lecture, je reconnais que c'est un excellent roman et que l'histoire est bonne.
D'une certaine manière, je me sens proche de Elinor qui est calme, pondérée et raisonnable. Elle a le sens du devoir et elle est suffisamment intelligente pour savoir épargner à sa famille des soucis supplémentaires en n'étallant pas ses états d'âme. Contrairement à sa sœur Marianne, que je trouve toujours aussi insupportable. De mon point de vu, à se complaire dans son malheur, oh combien grand en vérité !, à forcer le trait du romantisme jusqu'à l'excès, c'est une dinde !
L'histoire met en parallèle deux comportements différents face à deux situations similaires. Les deux sœurs DASHWOOD sont opposées comme le Yin et le Yang de l'emblème du TAO.
Parce que leur père n'était pas très riche et qu'elles ont été injustement traitées par un vieil oncle ingrat, Mme DASHWOOD et ses filles doivent quitter le domaine de NORLAND pour un cottage, gentillement proposé par un cousin qui les prend en pitié mais aussi en amitié. Alors qu'Elinor, l'ainée de la famille, s'éprend de Edward FERRARS, le frère de sa belle-sœur, Marianne la cadette, tombe amoureuse de WILLOUGHBY. Malheureusement le premier est inaccessible et le second inconstant. Les deux jeunes filles doivent faire face à leur déception et à leur chagrin. Pendant qu'Elinor ravale sa fierté et se montre forte face à l'adversité, Marianne s'effondre, accentuant encore la souffrance de sa sœur sans que celle-ci ne montre rien.

19 septembre 2012

Jason Bourne: l'héritage


Les 3 premiers volets de la saga ne m'avaient pas marquée plus que celà, mais j'avais envie de voir ce film là. Peut-être à cause de Jeremy RENNER, qui jouait aussi dans le film "Advengers", le rôle de Clint BARTON, alias Hawkeye. Le lien avec les autre films est que les actes de chacun ont des conséquences, aussi pour les autres. Jason BOURNE n'étant pas le seul agent, quand il met les actions de la CIA en lumières, celà met en danger la vie d'un grand nombre de personnes qui sont éliminées car les autorités font le ménage. L'agent Aaron CROSS doit donc se sauver et se battre pour survivre.
Le film n'a rien d'original; il est même très classique aussi bien dans la mise en scène que le scénario. Mais j'ai quand même passé un bon moment.

16 septembre 2012

The Secret


Rien de tel qu'un secret bien gardé pour piquer la curiosité et donner envie de savoir. Savoir ce qui se passe dans cette petite ville de Cold Rock, isolée au milieu de la forêt et sinistrée depuis la fermeture de la mine qui la faisait vivre. Mais quoi de pire que la disparition de 10é d'enfants qu'on ne retrouve pas ? Quel horrible secret renferme cette petite ville ? Où est la vérité ?
Il faut bien rester concentrer car une minute d'inattention et on peut perdre le fil de cette histoire incroyable ! C'est une version moderne du joueur de flute.  Je n'en dirai pas plus; allez voir le film.

14 septembre 2012

Le Guetteur


Avis aux amateurs de films policiers noirs, celui de Michele PLACIDO devrai leur plaire. "Le Guetteur" est très sombre mais pas gratuitement violent; la mise en scène a un rithme lent mais sans temps mort. Le sénario est complexe sans être obscure; quant aux personnages ils sont troubles, ambigües; la frontière est floue entre le bien et le mal et les apparences sont trompeuses. L'image est monochrome comme pour participer à l'atmosphère oppressante et glauque. C'est un face à face, voire un duel entre deux hommes qui s'opposent et qui, paradoxalement, ne sont pas si différents.
En tout cas j'ai beaucoup aimé.