31 octobre 2008

Samain

Dans la mythologie celtique irlandaise, Samain (on rencontre parfois la graphie Samhain) est la fête religieuse qui célèbre le début de la saison « sombre » de l’année celtique (pour les Celtes, l’année était composée de deux saisons : une saison sombre et une saison claire). C’est une fête de transition - le passage d’une année à l'autre - et d’ouverture vers l’Autre Monde, celui des dieux. Elle est mentionnée dans de nombreux récits épiques irlandais car, de par sa définition, elle est propice aux évènements magiques et mythiques. Son importance chez les Celtes est incontestable, puisqu’on la retrouve en Gaule sous la mention Tri nox Samoni (les trois nuits de Samain), durant le mois de Samonios (approximativement le mois de novembre), sur le Calendrier de Coligny.
Les moines irlandais qui ont mis par écrit les coutumes celtiques, à partir du VIIIé siècle, ont précisé que le jour de Samain est (selon notre calendrier moderne) le 1er novembre. La fête elle-même dure en fait une semaine pleine, trois jours avant, et trois jours après. Pour les Celtes, cette période est entre parenthèses dans l’année : elle n’appartient ni à celle qui s’achève ni à celle qui va commencer ; c’est une durée autonome, hors du temps. C’est le passage de la saison claire à la saison sombre, qui marque une rupture dans la vie quotidienne : la fin des conquêtes et des rafles pour les guerriers et la fin des travaux agraires pour les agriculteurs-éleveurs, par exemple.
Le nom de Samain signifie « réunion », c’est une fête obligatoire de toute la société celtique qui donne lieu à des rites druidiques, des assemblées, des beuveries et des banquets rituels ; son caractère religieux la place sous l’autorité de la classe sacerdotale des druides et la présidence du roi, toute absence est punie de mort. Il faut souligner que, selon l’idéologie tripartite des indo-européens définie par Georges Dumézil, les trois classes de la société (sacerdotale, guerrière et artisanale) sont associées aux cérémonies. Cette assemblée religieuse et sociale a progressivement disparu avec la christianisation, mais reste attesté jusqu'au XIIé siècle dans la littérature médiévale irlandaise.
La notion de passage se retrouve aussi à ce moment, entre le monde des humains et l’Autre Monde résidence des dieux (le Sidh). On a relaté l’aventure de héros, ou d’hommes exceptionnels, qui se rendent dans le Sidh (généralement à l’invitation d’une Bansidh), et y passent quelques agréables heures. Le temps des dieux n’étant pas le même, leur séjour est, en fait, de plusieurs siècles et, quand ils reviennent chez eux, ils ne peuvent vivre puisqu’ils sont morts depuis longtemps. Il convient de noter que la fête folklorique d’Halloween est anglo-saxonne avec une origine irlandaise, sans aucun rapport avec la mythologie celtique.
Source: Wikipédia

Halloween

L’Halloween (au Canada, avec un déterminant) ou Halloween (sans article, forme utilisée en France) est une fête qui se déroule dans la nuit du 31 octobre au 1er novembre. Elle est fêtée principalement en Irlande, au Canada, en Grande-Bretagne et aux États-Unis. La principale tradition veut que les enfants se déguisent avec des costumes qui font peur (squelettes, sorcières, monstres, etc.) et aillent sonner aux portes en demandant aux adultes, souvent eux aussi déguisés, des bonbons, des fruits ou de l'argent en disant, dans les régions anglophones, Trick or treat! (Des bonbons ou un mauvais sort !) ou simplement Halloween!. D'autres activités incluent des bals masqués, le visionnement de films d'horreur, la visite de maisons « hantées », etc.
L'origine d'Halloween est l'antique fête religieuse celtique de Samhain
qui a perduré plus longtemps chez les Celtes d'Irlande et de Grande-Bretagne que sur le continent européen. Après avoir évolué suite à la christianisation des populations, cette tradition a été transportée en Amérique du Nord au XIXe siècle par les Irlandais, les Écossais et autres immigrants.
Le principal symbole de l'Halloween est la citrouille
, remplacée quelquefois par un potiron (Jack-o'-lantern en anglais) : on le découpe pour y dessiner, en creux, un visage, puis on place une bougie en son centre.
L'Halloween est une fête traditionnelle à laquelle on attribue une lointaine origine celtique : il y a 2000 ans, les Celtes fêtaient, pendant sept jours, le changement d'année – appelé Samonios en Gaule, Samain en Irlande – aux environs du 1er novembre. Importée, pour finir, sur le continent nord-américain par les immigrants catholiques irlandais – l'Irlande ayant été évangélisée très tardivement au VIé siècle, c'est le pays où la fête de Samhain a subsisté le plus longtemps.
Son nom actuel est une altération de All Hallow Even, qui signifie littéralement le soir de tous les saints du paradis, c'est-à-dire la veille de la fête chrétienne de la Toussaint
(hallow est une forme archaïque du mot anglais holy qui signifie : saint, even est une forme usuelle qui a formé evening (soir)).
A l’origine, le symbole d’Halloween était un navet, qui fut remplacé petit à petit par une citrouille: on le découpe pour y dessiner, en creux, un visage, puis on place une bougie en son centre. Même s'il y a une tradition des Îles Britanniques consistant à sculpter une lanterne à partir d'un rutabaga, d'un mangelwurzel ou d'un navet, la pratique fut associé à l'Halloween en Amérique du Nord, où la citrouille était plus large et plus facile à sculpter.
L'imagerie qui entoure l'Halloween est largement un amalgame de la saison de l'Halloween elle-même (saison où les nuits deviennent de plus en plus longues par rapport au jour), d'un siècle ou presque de représentations artistiques (notamment dans les films américains), et une volonté mercantile de commercialiser ce qui a rapport au sombre et au mystérieux. Ceci implique généralement la mort, la magie ou des monstres mythiques. Les personnages couramment associés à l'Halloween sont les fantômes, les goules
, les sorcières, les vampires, les chauves-souris, les hiboux, les corbeaux, les vautours, les maisons hantées, des personnages à tête de citrouille, les chats noirs, les araignées, les goblins, les zombis, les momies, les squelettes, les loup-garous et les démons. Surtout en Amérique du Nord, le symbolisme est inspiré par les classiques du cinéma d'horreur, avec des personnages comme Dracula, le monstre de Frankenstein, le Loup-Garou et la momie. Les maisons sont souvent décorées avec ces symboles.
L'orange et le noir sont les couleurs traditionnelles de l'Halloween. Dans les produits et les images plus récentes, on retrouve aussi du mauve, du vert et du rouge. L'usage de ces couleurs est en partie dû à leur usage dans les publicités ayant rapport à cette fête depuis plus d'un siècle.
Source: Wikipédia

30 octobre 2008

Faubourg 36

Je viens d'aller voir "Faubourg 36", 2° opus de Christophe Barratier. Dans la distribution, on retrouve Gégard Jugnot et kad Mérad, ainsi que le jeune Maxence Perrin qui, s'il ne connaissait pas de chanson dans "Les Choristes", joue ici de l'accordéon. La musique joue également un rôle important et chaque chanson est originale, très bien interprétée par Nora Arnezeder; sans oublier la performance de Kad Mérad et de Clovis Cornillac qui poussent également la chansonnette.
C'est l'histoire d'un quartier de Paris où les gens se mobilisent autour du théâtre fermé par un promoteur immobilier véreux. C'est une histoire d'amitié, de courage, d'espoir et de rêves, d'amour (filiale et amoureuse). J'ai passé un très bon moment. C'est à la fois drôle et émouvant.

Open International de Toulouse

Le week-end dernier se tenait à Toulouse le traditionnel Open International. C'est la première compétition de la saison et elle est d'un niveau élevée. Le Sojjok Kwan et le TKD La Rochelle étaient présent. Kévin Lécuellé a rammené une médaille de bronze dans ses bagages dans la catégorie des séniors masculins de moins de 58 kg. Les autres se sont inclinés soit à cause de blessures, soit face au vainqueur de la catégorie. Une compétition si tôt dans la saison est dure parce que la préparation n'est pas ce qu'elle pourrai être, mais elle permet aux compétiteurs de "se régler".

23 octobre 2008

18 octobre 2008

Une jolie répartie ...

Comment résoudre la crise de la cinquantaine ?
Voici la réponse d'un médecin (dans une spécialité qui rapporte) qui vient d'en faire l'expérience : après 25 ans de mariage, j'ai regardé ma femme et lui ai dit : «Chérie, il y a 25 ans, on avait un petit appartement, une vieille bagnole, on dormait sur le canapé en regardant la télé en noir et blanc de 10 pouces, MAIS je dormais avec une belle jeune blonde de 25 ans.'' Maintenant, on a une maison de 500 000 euros, une BMW de 50 000 euros, un lit à eau, une télé couleur écran plat de 50 pouces, MAIS, je dors avec une vieille de 50 ans... Ma femme a toujours été très vive d'esprit et elle m'a dit: « T'as juste à te trouver une jeune blonde de 25 ans et je ferai en sorte que tu te retrouves dans un petit appartement avec une vieille bagnole et que tu dormes sur un canapé en regardant une télé en noir et blanc » Les femmes sont incroyables ! Elles te guérissent vite de ta crise de la cinquantaine...

13 octobre 2008

Alain SOUCHON, "Et s'il n'y avait personne"

Le son est loin d'être bon, mais il n'y avait rien de mieux.

12 octobre 2008

07 octobre 2008

Ni d'Ève ni d'Adam

Je viens de finir "Ni d'Ève ni d'Adam" que j'ai adorée, tout comme "Stupeur et tremblements". Je pense que je vais devenir totalement fan des romans d'Amélie Nothomb. Ce livre n'est pas exactement la suite de "Stupeur et tremblements", c'est la partie privée de ce que l'auteur a vécu au Japon. En dehors de se faire rabaisser et humilier dans le monde impitoyable de l'entreprise nippone, elle a aussi vécu une belle histoire avec un jeune japonais décrit comme le gendre plus idéal. J'étais morte de rire dès la 3é page !

Cliente

Je suis allée voir "Cliente" avec une amie au cinéma. C'est du Josiane Balasko pur jus ! J'ai bien aimé. Sous couvert de comédie, elle traite d'un sujet triste: la solitude ! L'histoire c'est celle de Judith qui a la 50é éclatante et qui a bien réussi dans sa carrière, qui est divorsée et qui se paye les services d'escort boys. La seule chose qu'elle n'avait pas prévu c'est que le faît de payer ne met pas à l'abri d'avoir des sentiments. Bien que mon amie ai trouvé les dialogues un peu cru (C'est du Balasko tout de même !) c'est un bon film. J'ai bien aimé le personnage de Irène qui croit au Grand Amour ! La seule chose qui ai gâché mon plaisir ce sont de petites dindes qui se sont imaginées qu'elles pouvaient commenter le film, déranger tout le monde et que personne ne dirait rien ! Après leur avoir poliment demandé de se taire, elles ont prouvé qu'elle étaient TRÈS mal élevées.

01 octobre 2008