04 janvier 2016

Je suis une Légende



Le roman est assez différent du film avec Will SMITH. L'époque pour commencez: la décennie 70. C'est bien une pandémie qui ravage l'humanité, mais le mot vampire est lâché; ce n'est pas juste suggéré. Le héros, Robert NEVILLE, n'est pas un scientifique, juste un ouvrier qui se retrouve être le seul être humain encore en vie et qui va chercher à comprendre ce qui s'est passé.
Pour lui, les vampires sont malades, ils doivent être soignés pour que tout redevienne comme avant. Seulement voilà, un détail lui a échappé: c'est le nombre qui détermine la morne. Un monstre n'en est un que quand il est perçu comme tel. Certains meurent pour que les autres vivent.
Mais bien sûr, tout cela n'est qu'une métaphore. Un plaidoyer pour la tolérance, pour le droit à la différence. L'auteur dénonce le racisme viscéralement ancré au cœur de notre être. 

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