Suite et fin des aventures de Tris et de ses amis. Les factions sont démantelés et le gouvernement des sans-faction, sous la houlette d'Évelyn, se met en place, telle une vengeance, et instaure une dictature.
Cependant la vérité a été révélée et certains veulent sortir de la ville dont ils sont prisonniers depuis des générations.
Tris et les autres vont donc enfreindre les nouvelles règles pour aller voir ce qui se passe au delà de la clôture.
La réflexion que la lecture de ce roman m'amène à faire c'est que si on se contente des apparences, les choses peuvent paraître idéales. Mais quelque soit le mode de vie choisi, les inégalités sont là et la liberté pas si évidente. Trop de gens se bornent à faire sien les opinions que les pouvoirs publiques leur imposent sans prendre le temps de réfléchir à ce que ça implique pour d'autres, surtout quand on n'est pas concerné. Ne pas menacer son confort personnel.
Ce troisième et ultime tome me fait penser au roman d'Aldous HUXLEY, "Le meilleur des mondes" où les enfants sont éduqués par le biais de phrases enregistrées qu'on leur fait écouter pendant leur sommeil, pour être bien sûr qu'une fois adultes ils se comporteront comme la société l'exige et qu'ils resteront à leur place.
Mais l'injustice en fait toujours réagirent certains. Les conflits éclatent et les société évoluent. Une erreur reste une erreur, même si on est persuadé du contraire.
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