04 janvier 2014

La belle et la bête


J'adorais la série de 1987 avec Linda HAMILTON et Ron PEARLMAN que je regardais presque religieusement. J'aime cette histoire car j'aime bien l'idée qu'on puisse voir une personne telle qu'elle est vraiment, sans s'arrêter aux apparences et je crois que quand on aime quelqu'un, celle-ci ou celui-ci est toujours belle ou beau à nos yeux.
J'ai commencé à regarder "Beauty and the beats" pour voir ce que ça donne et faire la comparaison. L'histoire se situe toujours à New York, mais Catherine CHANDLER est détective dans la police de New York et non substitut du procureur, quand à Vincent, il n'est plus physiquement bestial, il n'est pas défiguré, mise à part une cicatrice sur sa joue droite; sa bestialité est intérieure, dû à une expérience ratée de l'armée qui a voulu créer un super soldat suite aux attentats du 11 septembre. Ça s'exprime par une perte de contrôle et sa force physique comme ses sens sont décuplés quand il se met en colère. Celui-ci a dû faire croire à sa mort pour échapper aux méchants expérimenteurs et se cache, mais pas dans les souterrains de New York. Vincent sauve la vie de Catherine quand celle-ci est témoin du meurtre de sa mère et quand elle devient policier, ils se retrouvent et enquêtent ensemble.
C'est moderne. Ce n'est pas mal. Mais ça n'a rien d'original.


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