Et voilà, une nouvelle version de "Sherlock Holmes". Décidément, on ne s'en lasse pas. Mais je suppose qu'il était inévitable que les Américains le remanie à leur sauce.
Le héros de CONAN DOYLE se retrouve donc, après une cure de désintoxication et s'être fait viré de Scotland Yard, à New York où son très riche père l'installe dans un appartement lui appartenant et sous l'étroite surveillance de Joan (et non John) WATSON, chirurgien déchu suite à une erreur médicale ayant couté la vie à un patient, reconvertie en coach pour toxico, pour qu'ils restent clean et mène une vie rangée.
Sherlock HOLMES est toujours aussi insupportable et arrogant mais il est aussi plus humain. C'est un homme blessé, qui peut aussi se tromper mais faire comme s'il l'avait fait exprès. Il lui arrive même de présenter ses excuses. Quant aux autres personnages, Joan WATSON et le capitaine Tobias GREGSON de la police de New York, ils ne sont pas stupides ou complétement dépassés; ce ne sont plus de simples faire-valoir.
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