Bien que je m'étais jurée plus jamais de film en 3D, je suis quand même allée voir "Star Trek into darkness". Il y a des films qui méritent d'être vu sur grand écran. Je ne le regrette pas car pour une fois c'était bien fait.
Dans ce nouvel opus, l'ennemi vient de l'intérieur et les mauvais coups ne viennent pas forcément de là où on les attend, du moins le problème est plus complexe qu'il n'y parait. Le capitaine KIRK est une tête brulée, qui n'en fait qu'à sa tête, au mépris des règles, ce qui lui vaut de se faire taper sur les doigts. SPOK au contraire respecte scrupuleusement ces fameuses règles ce qui fait de leur tandem un duo de choc. Le lien entre les deux personnages devient très fort. Les évènements donnent une rude leçon au jeune capitaine KIRK, ce qui amène Petit Scarabée à devenir grand.
J'ai entendu certaines critiques de ce film et certaines me semblent injustifiées. Par exemple: "leurs communicateurs sont à clapet! C'est nul, ce n'est déjà plus à la mode!" Il faut se rappeler de l'époque à laquelle "Star Trek" a été créé: dans les années 60, au siècle dernier; au moment où la téléphonie mobile n'existait pas. Ce dernier film, ainsi que le précédent retrace la jeunesse de James KIRK, c'est la genèse du héros. Chronologiquement, l'histoire se situe entre la série "Star Trek Entreprise" (bien que ce soit la dernière née de la franchise) et "Star Trek classique". Il faut donc respecter un minimum ce qui a été créé par le passé pour garder le lien. Il faut garder les objets et les uniformes tels qu'ils ont été imaginés à l'époque de Gene RODDENBERRY.
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