Troisième et dernière aventure de Michael KANE et tant mieux car cela commençait à m'ennuyer. Le personnage a de grands idéaux et si accroche même quand la raison lui dicte d'agir autrement. On en revient à la maxime de ASIMOV: "la violence est le dernier recourt de l'incompétance" et on peut même y ajouter la 3é leçon du sorcier: "la passion domine la raison". La critique de la société humaine terrienne est claire: nous sommes des barbares. Les belles idée c'est bien beau, mais il y a la réalité. Tout au long de l'histoire, les situations décrites ne sont pas toujours vraissemblables. Quant au côté saint du personnage, ça le rend un brin rasoir.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire